Il est de plus en plus dur de boucler les fins de mois pour les français, l’inflation étant ce qu’elle est. Mais pas de panique, on peut encore compter sur les allocations sociales pour mettre du beurre dans les épinards.
Ces bouées de sauvetage financières : les allocations sociales
Au pays du fromage et de la baguette, pas mal de familles vivent grâce à une aide financière de l’Etat. C’est le cas du Revenu de Solidarité Active (RSA pour les intimes), de l’ Allocation Adulte Handicapé (AAH) ou encore de l’ Aide Personnalisée au Logement (APL). Bien sûr, c’est pas donné à tout le monde ! Il faut remplir certaines conditions pour y avoir droit et ce sont des organismes bien précis qui se chargent de verser ces aides.
Certains concitoyens se voient obligés de vivre uniquement de ces allocations, faute de rouflaquettes à cause de la perte de pouvoir d’achat. Forcément, ça fait jaser. Pour certains, le travail c’est sacré. Cette situation est souvent due à :
- Un problème d’inégalités imposé par le modèle économique
- Le désir d’avoir plus de temps libre pour soi et sa famille
- La galère pour dégoter un travail dans un marché du travail bondé
Bon, faut pas généraliser non plus. Ce n’est pas la situation de tous les allocataires.
Et pour notre système socio-économique, il en pense quoi ?
Certains se demandent si cette vie sur les aides sociales au lieu de bosser a un impact sur notre économie. Y’en a qui pensent que ça encourage à glandouiller au lieu de chercher un boulot, et que ça nuit à l’économie. D’autres affirment que c’est peanuts dans le budget de l’Etat et que les allocataires sont pris à la gorge, ils n’ont pas vraiment le choix.
Le débat amène aussi à se poser des questions sur la place du travail dans notre société. Certains voudraient qu’on revoit notre système socio-économique pour permettre à chaque individu de s’épanouir dans le job qui lui correspond le mieux.